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Voir également :
Travail - Emploi - Syndicalisme :
Afrique : insécurité, troubles politiques et conflits armés à l’origine de violations des droits syndicaux
Travail - Emploi - Syndicalisme :
Africa: Insecurity, political unrest and armed conflict at the root of trade union rights violations
Afrique de l’Est :
Les défenseurs des droits humains créent un réseau de soutien à leurs collègues menacés
Afrique de l’Est :
Human rights defenders form network of support for colleagues at riskSite(s) web :
Association pour le respect des Droits de l’Homme à Djibouti :
Ligue Djiboutienne des droits humains :
Djibwatch :Dernier(s) document(s) :
Les défenseurs des droits économiques et sociaux paient le prix fort - Un rapport de mission international de l’Observatoire pour la protection des défenseurs des Droits de l’homme - 9 août 2006 (PDF - 979.7 ko)
Djibouti et les normes fondamentales du travail - Rapport de la CISL en prévision de l’examen par le Conseil général de l’OMC des politiques commerciales de Djibouti
(Genève, 27 Février - 1 mars 2006) - 27 février 2006 (Word - 64.5 ko) |
Assignation à résidence du président de la Ligue djiboutienne des droits humains 1er février 2008 - L’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme, programme conjoint de la Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FIDH) et de l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT), vous prie d’intervenir d’urgence à propos de la situation suivante à Djibouti. L’Observatoire a été informé de sources fiables de l’assignation à résidence de M. Jean-Paul Noël Abdi, président de la Ligue djiboutienne des droits humains (LDDH). Selon les informations reçues, le 1er février 2008 à 11 heures, deux personnes se réclamant des Forces armées en civil ont empêché M. Noël Abdi de quitter son domicile, sans aucun mandat, et sous prétexte qu’il s’agissait d’une mesure générale prise à l’encontre de dirigeants de l’opposition et de leurs proches. Cette mesure viserait en réalité à nuire au bon déroulement du rassemblement de l’opposition prévu le jour même dans le cadre de la campagne pour les élections législatives du 8 février 2008. Bien que M. Noël Abdi leur ait répondu qu’il n’était pas concerné étant donné qu’il n’était membre d’aucun parti de l’opposition, les deux membres des Forces armées lui ont signifié d’attendre de nouvelles instructions. En outre, peu après midi, les deux membres des Forces armées ont été rejoints par six policiers des Forces anti-émeute qui ont encerclé le domicile de M. Noël Abdi afin de l’empêcher de sortir. L’Observatoire condamne cette assignation à résidence arbitraire, qui reflète la détermination des autorités djiboutiennes à assimiler les défenseurs des droits de l’Homme à des opposants politiques, et rappelle que M. Noël Abdi reste particulièrement visé en raison son engagement en faveur des droits humains, comme en témoignent les poursuites judiciaires dont il a été l’objet en mars 2007 et sa détention arbitraire en décembre 2007 [1]. L’Observatoire tient à préciser que cette mesure générale d’assignation à résidence est totalement illégale et s’inscrit dans un contexte plus large d’intimidation visant à faire taire toute voix critique à l’égard du régime en place [2], et ce afin d’empêcher, entre autres, toute dénonciation des violations des droits de l’Homme à Djibouti. Actions requises : L’Observatoire vous prie d’intervenir auprès des autorités de Djibouti et de leur demander de :
Adresses :
Prière d’écrire également aux représentations diplomatiques de Djibouti dans vos pays respectifs. Merci de bien vouloir informer l’Observatoire de toutes actions entreprises en indiquant le code de cet appel. [1] Cf., entre autres, appels urgents DJI 001 / 1207 / OBS 156 et 156.1, diffusés les 3 et 5 décembre 2007, ainsi que le communiqué de presse du 11 avril 2007. [2] Le 31 janvier 2008, le ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation a lancé sur les ondes de sur les ondes de la Radio RTD un avertissement sévère contre toute manifestation qui aurait lieu à compter du 6 février 2008 à minuit. |
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